La France tout entière a été abasourdie par l’incendie du toit de la célèbre cathédrale Notre-Dame de Paris. Par ailleurs le monde entier a réagi à ce désastre. Mais d’autres également se sont inquiétés pour les quelque 200.000 abeilles élevées sur la sacristie. Tout le monde a donc été rassuré de savoir que celles-ci sont indemnes.
L’apiculteur rassuré
Nicolas Géant, l’apiculteur en charge des 3 ruches de la cathédrale n’avait pas eu de nouvelles de celles-ci dans les premiers temps. Mais en consultant des images satellites, il a pu voir que ces bébés étaient sains et saufs et qu’ils se portaient bien.
Par ailleurs, les responsables de la cathédrale Notre-Dame à appuyer que les abeilles et leurs ruches fussent bien sauvées. Le porte-parole aurait même indiqué que les abeilles faisaient des va et viens dans les ruches.
Nicolas Géant retrouvera d’ici peu ses protégés pour de nouveau s’en occuper. Ce sera l’occasion pour lui de constater l’étendue des dégâts impactant l’édifice où il pratique l’apiculture.
On n’abandonne pas la ruche
Contrairement à ce que l’on peut penser, les abeilles n’ont pas abandonné les ruches. Dans cette situation, elles se gorgent de miel et puis protègent leur reine à tout prix. C’est un processus qui intervient rapidement dès la détection des premières fumées.
Selon l’apiculteur, ces abeilles n’ont pas de poumons, mais s’endorment au contact du CO2. Ce que l’on peut dire c’est que l’instinct de survie de ces producteurs de miel leur a permis d’échapper à une fin tragique. Seul le matériel d’apiculture serait touché.
L’inquiétude du monde entier
Au-delà d’avoir suivi l’évolution de l’incendie de la cathédrale de Paris, le monde entier s’est inquiété du sort des abeilles et de leurs ruches. Beaucoup ont suivi de près leur cas et se sont sentis rassurés quand ils ont appris qu’elles allaient bien.
Monsieur Géant a reçu des appels des 4 coins de la planète. Effectivement, des personnes venant de partout en Europe, d’Afrique du Sud, des États-Unis ou encore du Japon se sont précipités de prendre des nouvelles auprès de l’apiculteur en charge de ces abeilles. Ils ont notamment témoigné leurs soutiens avec des encouragements.
Présence des abeilles pendant la reconstruction
Après ce terrible incendie, une course contre la montre qui a pu réunir des sommes importantes est lancée pour reconstruire l’édifice historique. On estime alors que les travaux dureront un petit moment.
Mais qu’en est-il des abeilles et de leurs ruches ? Et bien, celles-ci resteront à la cathédrale pendant toute la période de la reconstruction. Elles pourront donc continuer sereinement la production de miel.
Nous espérons donc que tous les responsables s’assureront que ces ouvrières du miel disposeront des meilleures conditions pendant les travaux. Sans rappeler que les abeilles sont des espèces en voie de disparition et qu’elles sont fortement protégées.
Une importante production de miel
Malgré le fait qu’il n’y ait que 3 ruches, on peut dire que les abeilles présentes à la cathédrale Notre-Dame de Paris sont rentables. En effet, les récoltes par ruche sont estimées à plus de 25 kg. Ce qui est sensationnel pour un élevage au beau milieu de la ville.
Le miel produit par ces 200.000 abeilles est généralement vendu au personnel de la cathédrale. On peut donc facilement imaginer leur joie en apprenant qu’elles se portent à merveille.
